Jean-Marc Galès

Né en 1957, j’ai très vite débuté ma vie de jeune garçon par un lien étroit aux sports, successivement nageur, basketteur, judoka, skieur, puis plus tard golfeur, navigateur, pratiquant canne de défense...

En intégrant de façon très claire que les pratiques sportives n’étaient en rien des fins en soi, mais que des moyens de socialisation, de développement grâce aux interactions avec les autres, d’émancipation et de socialisation, dans une société laïque.

Ma rencontre avec la Ligue de l’Enseignement et les Mouvements d’Education Populaires, m’ont permis de préciser mes convictions et de pouvoir durant quelques années me mettre au service de ces valeurs (toujours les miennes aujourd’hui).

Retraité de la Fonction Publique Territoriale Mairie de Toulouse, j’ai tour à tour depuis 1979 assuré les fonctions de :

Animateur en Bibliothèque, Dir. Adjoint du Lido de Toulouse en charge du secteur amateur (Centre des Arts du Cirque), Directeur du Centre Culturel de quartier Lalande à Toulouse (jusqu’en aout 2021).

Aujourd’hui, habité par mon passé, je me suis enrichi de nouveaux domaines, tels que l'hypnose, le magnétisme, le reboutement, toujours en ouverture vers les autres.

Mon histoire ...


Agé de 4 ans, un jour de violent orage alors que je me trouvais chez mes grands parents maternels,

ma « Mémé Marie » me voyant pétri de peur me fit la confidence suivante :

« L'orage ne doit pas te faire peur, tu sais pourquoi ?

Simplement parce que dans le ciel et au-delà en cet instant, nos proches nos amis disparus, font la fête et nous rappellent que nous ne sommes pas seuls… »

Son habitation était en rez-de-chaussée, elle alla ouvrir la fenêtre me demandant de l’y rejoindre.

Me saisissant elle m’installe assis sur le rebord de la fenêtre appuyé contre sa poitrine et là, elle me dit : 

« Regarde Jean-Marc, le ciel est en fête, admire les couleurs, reçois les vibrations de la nature ». Elle sentait bon la violette ses bras autour de moi me tenaient chaud. Ce fut mon premier grand voyage. Des années plus tard, j’ai su que ma

« Mémé Marie » venait, ce jour là de me transmettre une partie de son magnétisme.

Je me considère comme un passeur,

un accompagnateur

vers du mieux-être

et du mieux-vivre

pour les patients qui me rencontrent